Anouk – My earth 4 ever

Les animaux marins et le plastique

Les animaux marins ne savent plus se nourrir.

D’après le journal Mon Quotidien : « Une baleine à bec de Cuvier a été trouvée, échouée sur une plage de Mabini, aux Philippines (Asie), la semaine dernière. Le cétacé était très amaigri. Des personnes ont tenté de remettre la baleine à l’eau, mais elle est revenue s’échouer peu de temps après… avant de mourir. Des spécialistes ont alors pratiqué une autopsie (ils ont étudié son cadavre). Dans son estomac, ils ont découvert… 40 kg de déchets en plastique : 16 sacs de riz, de nombreux sacs de courses… Conclusion : la baleine n’était plus capable de s’alimenter. Elle est donc morte de faim. »

Nouveau record en 2018 !

Environ 359 millions de tonnes de plastique ont été produits en 2018. Soit 11,38 tonnes par seconde ! La Chine est le plus grand producteur de plastique dans le monde avec 108 millions de tonnes produites chaque année. Puis les Etats-Unis et enfin l’Europe (20%). L’Afrique et le Moyen-Orient (7%) et l’Amérique Latine (5%) ne sont que très loin derrière… Depuis le 1er Janvier, déjà 230 millions de tonnes ont été produites.

D’après une étude menée à l’Université San Barbara (Californie) en 2017, 9,1 milliards de tonnes de plastiques ont déjà été crées dans le monde depuis l’invention du plastique. Et ce qui est le plus effrayant, c’est que plus de la moitié de ce volume s’est retrouvé dans l’environnement (environ 5,4 milliards de tonnes de plastique). En 2050, on estime que la production de plastique aura augmentée de 28,7 milliards de tonnes. Et 13,2 milliards qui finiront dans les océans.

Chiffres :

La France est le troisième consommateur de plastique en Europe (9,6%), derrière l’Allemagne (24,9%) et l’Italie (14,3%)

On estime entre 4,8 et 12,7 millions de tonnes le volume du plastique qui finit chaque année dans les océans.

1g de plastique contient environ 1g de pétrole

Les Philippines font partie des 5 pays rejetant le plus de plastique dans les mers :

Près de 2 millions de tonnes chaque année pour seulement ce pays !

D’après le Figaro, 1,5 millions d’animaux sont morts en avalant du plastique en 2014. Le plastique se retrouve partout dans les océan mais la principale zone de concentration mondiale de microparticules de plastique se situe entre la Californie et Hawaï.

Sources :

Baleine de Cuvier

Record plastique et chiffres

Vidéo sur le plastique dans les océans

Image plastique océan

photo tortue prise dans filet

Article Figaro

Le paradoxe des animaux stars.

Ce paradoxe explique que les espèces les plus présentes et les plus populaires dans les médias, dans le commerce sont fortement menacées d’extinction. Et ça le public l’ignore… Les personnes travaillant sur cette étude aimeraient créer une sorte de « droit à l’image ».

Exemple : Tout les animaux se trouvant dans les films ou dessins animés (Dans Madagascar, le public semble ne pas savoir que la girafe est en voie d’extinction) ou bien toute les peluches, les enfants ne savent sûrement pas que la plupart des animaux sont menacés ou pire, décimés.

Je trouve ça surprenant, que ce sont les animaux stars, qui sont les plus menacés.

L’équipe de My earth 4 ever

La barrière de corail, un écosystème naturel riche

La barrière de corail se situe à l’est de l’Australie, dans l’Etat de Queensland. Elle fait plus de 2 300 kilomètres de long et a une superficie de 348 000 km2. Cette barrière abrite d’innombrables espèces de coraux (400 espèces différentes) ; de poissons (1600 espèces différentes) ; des mollusques (4000 espèces différentes) ; des tortues (6 espèces de tortues de mer sur les 7 connues) et près de 240 espèces d’oiseaux. C’est le plus grand écosystème de récifs coralliens de la planète. Résultat de recherche d'images pour "la grande barrière de corail couleur"

Et aujourd’hui, cet écosystème est en danger. A cause du réchauffement climatique. (C’est la partie du nord qui a été le plus touchée). Les deux tiers (67%) des coraux ont été gravement touchés. La conséquence du réchauffement climatique est le blanchissement des coraux. Le blanchissement est un phénomène de dépérissement. Il est provoqué par des conditions anormales comme le réchauffement de la température de l’eau: cela entraîne l’expulsion par les coraux des algues symbiotiques qui leur donnent leur couleur et leurs nutriments.

Résultat de recherche d'images pour "la grande barrière de corail réchauffement climatique"

Si le réchauffement climatique persiste alors, les coraux périront. Mais si l’eau refroidit, alors les récifs peuvent s’en remettre. Mais il faudra tout de même 10 à 15 ans pour que la partie nord récupère ses coraux.

L’équipe de My earth 4 ever

Une pollution surprenante…

Les déjections de l’hippopotame, asphyxient les rivières !!!

Deux biologistes se sont rendus près de la rivière Mara, au Kenya, en Tanzanie et ont découvert des milliers de poissons morts sur une centaine de kilomètres… Ils ont d’abord soupçonné les pesticides puis se sont rendus compte que c’était les troupeaux d’hippopotames.

Les hippopotames ne transpirent pas contrairement à nous, ils doivent donc réguler leur température en vivant dans l’eau lors des fortes chaleurs. Et quand le niveau de la rivière baisse, les hippopotames doivent se regrouper : cela forme d’énormes troupeaux. On compte 171 « piscines à hippopotames » dans la rivière Mara. On peut donc compter pas moins de 9,3 tonnes de déjections par jour !

Dans ces déjections, on peut trouver de l’ammoniaque, du sulfure d’hydrogène, ainsi que du méthane et du dioxyde de carbone. De quoi étouffer le moindre poisson !

L’équipe de My earth 4 ever

Le 7e continent : Le continent Plastique.

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Des milliards de morceaux de plastique (80.000 tonnes de déchets) : la gigantesque décharge qui flotte dans le Pacifique est bien plus importante qu’auparavant, et s’étend sur une surface de trois fois la France (environ 1,6 million de km²), selon une étude publiée, jeudi 22 mars. Alors que la production de plastique dépasse 320 millions de tonnes par an, une partie de ces sacs, bouteilles, emballages, filets de pêche abandonnés et microparticules dégradées s’agglutinent dans plusieurs zones des océans, sous l’effet de tourbillons géants (vortex) formés par les courants marins, et ils menacent animaux et écosystèmes.

L’un des plus grand vortex se situe dans l’océan Pacifique et à cause des courants marins est à l’origine du continent Plastique. Près de 80 000 tonnes de plastique flotte sur cet océan ; et continue d’augmenter.

Beaucoup d’animaux s’empêtrent dans les filets de pêche abandonnés comme des tortues; des poissons ou des mammifères marins. Mais les filets de pêche sont quand même plus faciles à attraper que les microplastiques ; donc ils sont moins nombreux.

C’est un problème à l’échelle mondiale alors agissons ensemble.

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L’équipe de My earth 4 ever

Les oiseaux disparaissent ! : Ennemi n°1 : LE PESTICIDE !

Les oiseaux des campagnes connaissent un véritable déclin, qui s’est intensifié depuis deux ans.

« Le printemps 2018 s’annonce silencieux dans les campagnes françaises », s’alarment le CNRS et le Musée national d’histoire naturelle dans un communiqué mardi, estimant que « ce déclin atteint un niveau proche de la catastrophe écologique ».

Le responsable n° 1 : Le pesticide !

Le pesticide fait diminuer la population d’insectes. Les oiseaux, ne pouvant plus se nourrir meurent ou migrent dans d’autres pays (c’est plus rare). Car la plupart des oiseaux se nourrissent d’insectes.

Une étude a montré que plus de 75 % des insectes volants ont disparu en moins de trente ans.

Si tous les insectes disparaissent :

Il n’y aura plus de services écosystémiques, c’est-à-dire, utiles à l’homme. Par exemple, la pollinisation des fleurs qui joue sur la production de fruits.
Il n’y aura plus la partie « nettoyage naturel ». Sans les insectes volants, les forêts pourraient se retrouver avec une litière de feuilles mortes installée en permanence sur le sol.
Ensuite, certains insectes comme les coléoptères se nourrissant des bouses de vache disparaîtront, l’herbe des pâtures pourra être recouverte par les bouses et condamneront certains espaces pour les troupeaux.

Alors essayons d’agir…

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L’équipe de My earth 4 ever

La disparition d’une espèce peut en entraîner d’autres…

Comment peut-on dormir alors que la moitié de toutes les espèces vivantes sur Terre, animales et végétales, terrestres et marines, pourraient disparaitre avant la fin de ce siècle ?

Les activités humaines continuent de causer la disparition d’espèces, on parle de plus en plus de la sixième extinction de masse. Or, cette perte pourrait avoir des conséquences dramatiques.

Chaque espèce est importante. Il y aura forcément un impact sur la chaîne alimentaire dans laquelle elle se trouve.

Au cours des deux siècles et demi écoulés, les activités humaines amplifiées par la révolution industrielle ont initié une série de dégradations des écosystèmes, déforestation, agriculture intensive, surpêche, braconnage, artificialisation des sols, pollution des sols, des eaux douces et des océans. Des plaies auxquelles s’ajoute un changement climatique global.

Mais il y a aussi la disparition d’espèces bien plus petites, microscopiques. Ces espèces discrètes purifient l’air que nous respirons, l’eau que nous buvons, enrichissent la terre que nous cultivons. Elles aussi sont en voie de disparition.

Le réseau écologique, qui peut compter sur l’expertise d’environ 10.000 scientifiques aux quatre coins du monde, estime que le nombre d’espèces actuellement en voie d’extinction se chiffre à 15.589.

L’Homme est entièrement responsable de cette situation.

L’équipe de My earth 4 ever

Abeilles et environnement

Les abeilles ont un rôle fondamental dans la biodiversité et la santé des écosystèmes de notre planète. Elle sont indispensables à la survie de notre planète.

Les abeilles permettent la fécondation des fleurs, elles transportent, en butinant, l’élément mâle, le pollen d’une fleur, sur l’élément femelle, le pistil d’une autre fleur. Elles peuvent visiter ainsi 700 fleurs par jour !

C’est grâce à elles que nous pouvons manger tous les fruits et certains légumes (issus de fleurs). S’il n’y a plus d’abeilles, adieu les tomates, les cerises, les pommes, les fraises, les haricots vert, les aubergines…

Les quelques 250.000 à 300.000 espèces de plantes à fleurs qui constituent 70 % du règne végétal ont besoin d’une aide extérieure autre que le vent pour transporter le pollen en vue de la fécondation. Et pour attirer les insectes pollinisateurs, les plantes secrètent un liquide sucré : le nectar, dont se nourrissent les abeilles en même temps qu’elles récoltent le pollen.

Pour aider les pollinisateurs à rester et passer dans votre jardin, n’utilisez pas de pesticides, bien évidemment, fabriquez un hôtel à insectes ou bien encore, installez une ruche !

Malheureusement, depuis quelques années, la population des abeilles est en très forte diminution : en France, près de 30% des colonies d’abeilles disparaissent chaque année. C’est le syndrome d’effondrement des colonies d’abeilles. Subitement, les ruches se vident de leur abeilles, sans que l’on ne retrouve aucun cadavre à proximité. Les études montrent qu’il y a de nombreuses raisons à cette disparition : dérèglement climatique, nouveau virus, acariens, parasites, disparition des habitats naturels et bien évidemment pesticides !

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L’équipe de My earth 4 ever

Les pandas géants

Les pandas géants sont des mammifères terrestres omnivores.

Aujourd’hui, ils demeurent l’une des espèces les plus menacées au monde, pour diverses raisons:

Le tourisme et les activités humaines. C’est ainsi que le panda géant pouvait autrefois être observé dans le Sud et l’Est de la Chine, ainsi qu’au Myanmar et dans le Nord du Vietnam, son aire de répartition se réduit aujourd’hui à quelque 20 parcelles de forêts isolées dans les zones montagneuses des provinces de Sichuan, Shaanxi et Gansu (Chine), en raison de l’essor démographique et des activités humaines.
Les récoltes de bambous. L’habitat du panda se rétrécit en raison notamment de l’expansion des zones agricoles et de la mise en œuvre de divers projets d’aménagement qui dispersent chaque jour un peu plus les parcelles de forêts de bambous restantes…De nos jours, seuls 1 864 pandas géants subsistent à l’état sauvage, dans six grands massifs montagneux du centre de la Chine. Les forêts montagneuses constituant l’habitat du panda continuent d’être dégradées par les récoltes de bambous, de bois et la cueillette de plantes médicinales. Par ailleurs, des chercheurs ont mis en évidence le fait que plusieurs espèces de bambous allaient disparaître sous les effets du changement climatique tandis que d’autres allaient potentiellement coloniser des milieux aux conditions climatiques plus propices. Ce déclin annoncé ainsi que cette nouvelle répartition géographique risquent d’affecter la disponibilité de la nourriture. Le panda géant aura ainsi plus de difficultés à trouver de quoi s’alimenter.
Le braconnage. Enfin, bien qu’il soit rare pour les braconniers de tuer un panda de manière intentionnelle, certains sont blessés ou tués accidentellement par des pièges destinés à d’autres animaux, comme les cerfs et les ours noirs.

Victoire pour le panda ! La surface de son habitat naturel est en augmentation, grâce à la création de nouvelles réserves et de nouveaux couloirs entre celles-ci.

Augmentation de la population de pandas géants: +17% !

Dans les années 1980, ils ne restaient plus que 1 114 pandas à l’état sauvage en Chine. Dans les années 2000, ils étaient 1 600 environ. Aujourd’hui, ils sont 1 864 dans le monde grâce aux efforts de conservation déployés sur son aire de répartition ! Toutefois, il reste encore beaucoup à faire pour mettre définitivement le panda à l’abri de toute menace car sa population reste faible. Résultat de recherche d'images pour "pandas bambous"

L’équipe de My earth 4 ever

Bonne nouvelle : la couche d’ozone se reconstitue

La couche d’ozone s’est formée il y a environ 600 millions d’années et a atteint sa taille actuelle il y a environ 400 millions d’années. Son rôle est de nous protéger du soleil et surtout des rayons UV (rayonnements ultraviolets) présents dans les rayons du soleil. La couche d’ozone est essentielle à la vie sur terre.

L’impact des UV sur les organismes vivants dépend de leur longueur d’onde : plus cette longueur d’onde est courte, plus le danger est grand. Heureusement, les UV sont arrêtés presque en totalité par la couche d’ozone. Malheureusement, cette couche protectrice s’est amincie dangereusement, particulièrement à une altitude comprise entre 14 et 20 km. Elle présente aussi des trous au niveau des pôles.

Les substances à l’origine de ces trous sont principalement le chlore, le brome, l’iode et le fluor (les CFC). D’autres substances appauvrissent la couche d’ozone, comme le méthane présent dans les pets de vaches, ou bien la vapeur d’eau…

Face à ce phénomène global et d’une extrême gravité, les pays industrialisés ont adopté un traité international : le protocole de Montréal en 1987.

Le protocole de Montréal est un traité universel qui a interdit progressivement de nombreuses substances qui détruisaient l’ozone. Depuis, la couche d’ozone semble se reconstituer ! Il y a quelques années, les scientifiques considéraient que le trou dans la couche d’ozone devrait se résorber totalement dans environ cinquante ans. Maintenant, il considèrent que la couche d’ozone sera entièrement « rétablie » environ vers 2070. Résultat de recherche d'images pour "couche d'ozones"

Résultat de recherche d'images pour "couche d'ozones"

Toutefois, la couche d’ozone ne retrouvera probablement pas son état originel . En effet, d’autres gaz , les gaz à effet de serre (responsables du réchauffement climatique) détruisent aussi l’ozone, mais moins fortement. Dans tous les cas, le trou dans la couche d’ozone ne sera plus un problème majeur d’ici 2060-2080 environ.

L’équipe de My earth 4 ever